A ce porche, on se plait à montrer que le travail manuel participe à l’œuvre de création divine. On y fait aussi l’éloge des «sciences en leur totalité».
L’inspiration est puisée dans le Miroir des sciences de Vincent de Beauvais qui s’y soucie "de la chute et de la restauration de l'homme". Les arts mécaniques, tels l’agriculture et la métallurgie, accompagnent les sciences, la théologie, l’anatomie mais aussi la médecine. Les arts mécaniques deviennent très vite de l’art (architecture, peinture et musique). Les sciences occultes elles même, (astrologie et alchimie), qui flottaient alors dans les limites de la vraie science, sont elles aussi représentées.